Parce que l’euthanasie et l’assistance médicalisée pour mourir constituent tout à la fois des avancées sociales et une opportunité commerciale, le Groupe Charon s’honore de poursuivre des objectifs sur ces deux plans simultanément.
La mise en place d’un accord de partenariat avec la Caisse d’Assurance Maladie permettrait-elle de répondre à ces deux visées.
D’une part, l’implication de la Caisse d’Assurance Maladie viendrait témoigner que la société dans son ensemble tient à s’investir dans le développement du nouveau droit créé par la législation dès qu’elle sera adoptée. La Caisse d’Assurance Maladie est une structure publique ayant à connaître et à intervenir auprès de la quasi-totalité des citoyens français et des résidents sur son sol. Elle est dès lors bien, si elle l’accepte, un véhicule privilégié de ce témoignage et de ce lien entre le pays et les valeurs qui l’animent.
D’autre part, la Caisse d’Assurance Maladie est elle-même financièrement impliquée dans les choix de santé et de modes de vie parmi ses assujettis. Les dépenses supplémentaires occasionnées par des situations d’acharnement thérapeutiques impactent directement sur son budget. Inversement, les économies de moyens relatives à la réduction d’une forme de survie qui aurait inclus, si elle avait duré, des dépenses excédentaires alimentant directement ses actifs. Si les dépenses engagées pour un acte euthanasique sont inférieures à celles qui auraient été engagées lors d’une survie plus prolongée, le solde net du coût de ce nouveau droit devient immédiatement positif.
La Caisse d’Assurance Maladie a de plus partie intimement liée avec l’ensemble des structures de prise en charge des patients, des handicapés, des retraités, tant concernant la couverture des soins et des divers aspects de la dépendance que concernant les prestations retraite, handicap, arrêt de travail … dont ils sont bénéficiaires. La non-utilisation d’une durée de survie par le recours à une forme d’euthanasie permet ainsi à la fois une diminution des dépenses de santé, mais également un allègement du poids des rentes et prestations compensatoires variées.
Le Groupe Charon se propose d’être le relais de la Caisse d’Assurance Maladie sur ces deux aspects.
D’une part, le dynamisme de son secteur créatif et sa connaissance aiguë du terrain, appuyés par une réflexion forte dans le domaine, font du Groupe Charon le partenaire potentiel le plus innovant et le plus en pointe pour une communication à la fois incitative et citoyenne pour la Caisse d’Assurance Maladie.
D’autre part, la réactivité et la souplesse de sa réflexion commerciale permettent au Groupe Charon de proposer des prestations économiquement parfaitement contrôlées pour dégager des marges sur son offre « optionnelle » autorisant une maîtrise des coûts au bénéfice des demandeurs de prestations de base. Ce souci d’ouvrir le droit euthanasique au plus grand nombre au meilleur coût est en complète congruence avec l’éthique de service public de la Caisse d’Assurance Maladie.
Enfin, et même si le contexte légal à ce jour ne permet pas encore au Groupe Charon de se prévaloir d’une expertise technique, une des forces de son projet est de s’appuyer sur un secteur Recherche et Développement puissant et au cœur même de son organisation, disposant des compétences scientifiques à même de développer les méthodes et procédures les plus performantes. Ce secteur anime un secteur Formation et se double d’un secteur Exécution spécialisé, permettant la possibilité de prestations de qualité, à la pointe des connaissances techniques et scientifiques, dans une configuration totalement « clés en main ».
Pour ces raisons, le Groupe Charon souhaite nouer avec la Caisse d’Assurance Maladie un partenariat étroit dans le cadre duquel il se propose d’opérer dans un cadre de délégation de service public dégageant la Caisse d’Assurance Maladie des opérations matérielles de l’exercice du droit euthanasique à venir.
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